Un parallèle avec WikiLeaks et Julian Assange ?

CETTE PAGE DATE – ELLE N’EST PLUS MISE A JOUR

En exergue : le faux, une spécialité de l’aviation française, avec les fausses licences de pilote de ligne. A partir de ces faits, compréhensibles par un gamin de dix ans, qui pourrait ne pas s’intéresser à la suite, sauf à être aveugle ou très malhonnête ?

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NB : des mises à jour Update figurent à la fin de la note. La dernière est du 27 mai 2013.

On trouve beaucoup de similitudes entre l’affaire wikileaks.org/Assange et l’affaire jacno.com/Jacquet, c’est-à-dire mon affaire. Même si les motifs sont sensiblement différents (divulgation de câbles diplomatiques confidentiels dans un cas, dénonciation de vérités publiques qui gênent Airbus et les pouvoirs publics français dans l’autre), les méthodes contre les gêneurs sont les mêmes : tout un pays (les USA dans un cas, la France dans l’autre) ligué contre une personne pour tenter d’enfermer celle-ci, voire la supprimer, et pour tenter de faire disparaître son site Web.

Je suis actuellement menacé d’un mandat d’arrêt international sous un motif foireux par la juge d’instruction Nadine Berthelemy-Dupuy (TGI de Paris), soutenue par le bâtonnier Jean Castelain, le vice-bâtonnier Jean-Yves Le Borgne, qui fut un temps mon avocat, et une petite mafia d’avocats véreux, afin de permettre ensuite une attaque de mon site Web dès que j’aurai été enfermé, le but ultime étant d’essayer de m’interner finalement en unité psychiatrique spéciale UMD à Villejuif pour m’y détruire par les drogues après avoir supprimé mon site Web. Ceci n’est pas une plaisanterie ni le fruit d’une imagination débordante. Qu’on en juge à la lecture, ci-après, d’un rappel de quelques faits, après avoir constaté que la juge Berthelemy-Dupuy n’en n’est pas à son coup d’essai.

Tout un pays, en premier lieu sa justice, est ligué contre moi pour délit d’opinion, alors que s’accumulent les faits qui me donnent raison. Sur mon site principal on trouve aussi des informations à ce sujet et également ailleurs dans le monde, par exemple sur PPRuNe (Update : le sujet sur PPRuNe a été verrouillé début janvier 2011 par la modératrice flyblue, ce qui ne surprendra pas sachant que flyblue est une salariée de l’aviation française… pour autant, ce sujet reste un des plus actifs, bien qu’en lecture seule, ce qui montre son intérêt !). Ceux qui m’aident subissent pressions et menaces. Il en est de même de ceux qui, sans même m’aider, me fournissent simplement leurs services (ce fut le cas de l’ex-hébergeur de mon site Web, qui a été menacé de disparition s’il n’acceptait pas de mettre fin à l’hébergement dans le cadre d’un procès “bidon” et d’une nouvelle forfaiture judiciaire). J’ai déjà indiqué ce dont j’ai été victime, notamment les agressions physiques, dont une avec un automatique sur la tête (trois paragraphes à partir de “Le juge Guichard a engagé…” avec un lien vers un document judiciaire). J’ai été emprisonné à plusieurs reprises en France et torturé en unité psychiatrique spéciale UMD à Sarreguemines (excréments sur le visage, etc.), à chaque fois sur décision judiciaire (vingt mois d’enfermement au total). Tout cela est exposé en détail sur le Net depuis août 2004, avec tous les documents utiles (on trouve plus court et encore plus court). En raison de condamnations à des peines de prison devenues récemment définitives dans le cadre de procès soviétiques délirants, je vis maintenant en exil et je ne me rends en France que dans la clandestinité. Ma vie est en danger, où que j’aille dans le monde.

On notera quand même une différence avec l’affaire WikiLeaks/Assange : le comportement de l’AFP, alors que j’ai pourtant bénéficié d’une grève de soutien avec préavis au ministre Jean-Louis Bianco. A cet égard on peut considérer que mon affaire est pire que WikiLeaks. En outre, on ne peut rien me reprocher. Je ne fais que dénoncer des vérités publiques.

Update 9 décembre 2010. J’ai eu cet après-midi au téléphone la greffière de la juge d’instruction Berthelemy-Dupuy (TGI de Paris, tél : +33 (0)1 44 32 51 51), à qui j’ai fait part de mes réticences à me rendre ouvertement en France. La greffière m’a déclaré qu’un mandat d’amener serait délivré contre moi demain 10 décembre si je ne me présentais pas au cabinet de la juge. J’ai indiqué qu’il faudra donc que ce soit un mandat d’arrêt international. Elle m’a répondu que tel serait le cas. Elle m’a confirmé avoir reçu une lettre de ma part dans laquelle j’indique de quoi il retourne, avec toutes les références utiles vers le Net. Je lui ai rappelé ce qu’il en était, ajoutant « de toute façon, il suffit de taper Norbert Jacquet dans Google ». La conversation a été enregistrée. Il n’est pas excessif de parler d’assassinat programmé (il ne s’agit pas d’une métaphore). Et tout cela alors que TOUT me donne raison !

Update 6 janvier 2011. Un oubli. J’en avais parlé ailleurs et j’ai écrit à l’AFP et aux médias français ce qui suit, mais j’ai oublié de le mentionner ici. Je répare cet oubli. Des gens avec qui je suis en relation en région parisienne et qui ont eu l’occasion de m’héberger ont eu droit à une descente de police à domicile, le 10 décembre 2010, à la demande de la justice, avec mandat d’arrêt à mon encontre. Le grand jeu avec « ouvrez immédiatement ou on défonce la porte », avec une dizaine de policiers et tout le matériel dans l’immeuble et autour de celui-ci (commissariat de police de Nogent-sur-Marne). Quand les policiers, que la justice avait fait agir dans l’urgence, ont compris qui j’étais et pourquoi on me recherchait, ils ont été écoeurés… d’autant plus que cela tombait le jour des “évènements de Bobigny”, avec la police manifestant contre la justice au palais de justice, déclenchant la polémique politique que l’on sait sur le thème “la justice est pour les délinquants et criminels et contre la police”. Ceux qui veulent en savoir plus peuvent s’adresser à Nadine Berthelemy-Dupuy, juge d’instruction à Paris, au +33 (0)1 44 32 51 51 (standard téléphonique du tribunal).

Update 9 février 2011. Dans le même temps, un Tony Meilhon, comme beaucoup d’autres délinquants et criminels dangereux, multirécidivistes, n’était pas inquiété par cette même justice. Et la magistrature française trouve le moyen de tout bloquer, à l’appel du syndicat de la magistrature (qui a du sang plein les mains), parce qu’elle n’admet pas d’être mise en cause à la suite d’une erreur de sa part ! Parallèlement, je continue à être pourchassé pour délit d’opinion par cette même justice à la solde des délinquants et criminels de l’aviation. Au secours ! La justice française est folle ! La France est folle ! Faites quelque chose !!

Update 16 février 2011. Comme je n’ai rien à cacher, je publie mon courriel d’hier aux avocats.

Update 11 mars 2011. C’est de pire en pire. Un mandat d’arrêt international a été lancé pour essayer de casser les mesures de protection que je suis obligé de prendre, malgré mon exil. Plus de détails dans un communiqué.

Update 10 septembre 2011. J’ai mis en ligne des documents avec du retard et j’ai oublié d’en parler ici quand je les ai publiés. Des évènements qui datent de mars 2010. Il s’agit de la justice, avec des choses monstrueuses, des procès qu’on ne verrait même pas dans la pire des républiques bananières. Et c’est le brillant magistrat Alain Verleene qui a signé ces forfaitures ordurières.

Update 22 novembre 2011. Cette mise à jour est un peu tardive, mais j’ai vraiment beaucoup de choses à gérer, en premier lieu la vie matérielle au quotidien tout en étant traqué par la justice française, et j’ai oublié de parler ici d’un évènement récent. Le 27 octobre à 11 heures 20, quatre policiers de la BRDP, dont Jean Bacque et Marjorie Koellsch (cette dernière a, depuis, changé de service le 2 novembre), ont débarqué chez un de mes points de chute en France pour tenter de m’arrêter à la demande de… la juge Sylvia Zimmermann, dont la malhonnêteté n’est plus à démontrer (je dispose de toutes les preuves de cette opération). Ils ont fait chou blanc. En effet, je le répète, je me suis réfugié hors de France et je ne me rends en France que dans la clandestinité, en prenant des précautions en raison des mesures de surveillance mises en place par la justice française pour m’arrêter, m’enfermer et me détruire.

Update 31 décembre 2011. Les salauds ! Certains ne reculent devant rien pour me nuire, et là c’est vraiment abject.

"Tract" PDF diffusé en France
"Tract" diffusé en France

Update 12 mai 2012. Désolé, encore un oubli de mise à jour de cette page, avec une ordonnance du juge Bongrand de mars 2012. La justice française est complètement folle.

Update 31 mai 2012. ALERTE ! Les hébergeurs de mes sites Web subissent actuellement des attaques ignobles et illégales. On menace même certains d’entre eux de disparition s’ils ne participent pas à la curée. Il a donc fallu mettre en ligne une PAGE DE SECURITE.

Update 8 septembre 2012. Fait suite aux évènements rappelés dans les updates du 11 mars 2011 et du 22 novembre 2011 ci-dessus. Le mandat d’arrêt international ayant fait flop, c’est la juge Sylvia Zimmermann, comme on l’a vu ci-dessus, qui a pris la rélève. J’ai été arrêté fin juin 2012 en Bretagne-Centre à la suite de la chasse à l’homme hallucinante organisée par la juge Zimmermann. Heureusement je suis sous la protection et la surveillance constante de familles de victimes du Rio-Paris, hors de France, qui sont intervenues (j’ai pu en appeler une au moment de mon arrestation, m’étant enfermé pour retarder celle-ci de quelques minutes). J’ai été relâché après une journée d’enfermement. Mais les manoeuvres souterraines visant à amener ceux qui me protègent à me lâcher se poursuivent. Je risque donc toujours, à tout moment, un enfermement de longue durée dans le silence général. Je continue donc à prendre des mesures de protection. J’ai mis en ligne les pièces de procédure de cette chasse à l’homme organisée par la juge Zimmermann, y compris le courriel qui annonce son intention de me faire enfermer en psychiatrie. Quand on sait ce que j’ai déjà subi et quand on voit que la juge Zimmermann met tout en oeuvre pour cacher la vérité sur le Rio-Paris et pour détruire les familles de victimes, ce n’est pas une plaisanterie. On comprendra que je me sois de nouveau mis au vert en attendant la suite. Les pièces judiciaires concernant cette chasse à l’homme sont à découvrir à partir d’une page de présentation.

Update 6 octobre 2012. Halte au laxisme de la justice ! Trois mois de prison ferme !! Si, après cela, il s’en trouve encore pour n’avoir pas compris…

Update, 2 mars 2013. La chasse à l’homme se poursuit, organisée par quelques magistrats, avec des avocats qui refusent de me répondre. Au gouvernement, on sait. Le ministre Arnaud Montebourg, notamment, sait tout sur tout, ce que tout le monde comprend en quelques minutes, sans aucune connaissance technique, ni juridique (cliquez sur l’image) :

Arnaud Montebourg sait tout sur tout
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Update, 27 mai 2013. Cela ne s’arrange pas. Il suffit de lire un résumé de l’état actuel, qui fait suite au constat que la justice, crachant à la figure des familles de victimes pour continuer à les escroquer, leur répond dans plusieurs lettres qu’il est parfaitement normal que je sois recherché et enfermé pour me faire taire et disparaître, alors que je suis le seul à dire la vérité et à aider les familles de victimes. Tout cela sous l’oeil bienveillant de Hollande et son gouvernement, malgré leurs déclarations de bonnes intentions. Et tant pis pour les familles de victimes !