3 septembre 2013. Christiane Taubira a diffusé le 23 juillet 2013 une « circulaire portant sur la réponse pénale aux violences et discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre » (circulaire sur le site du gouvernement). Il convient de lire ligne par ligne cette très longue circulaire. Dans son souci de protéger les victimes, réelles, supposées ou potentielles, et de défendre les intérêts de celles-ci, Taubira en fait des tonnes. S’agissant de ceux qui ont violé ou qui seraient susceptibles d’avoir violé la loi, la prose de la ministre a un petit goût d’Inquisition.
Dans le même temps, les familles des 700 morts des crashs aériens actuellement à l’instruction se font escroquer et détruire à petit feu par la justice française, qui leur crache ouvertement à la figure avec, dans le cas du Rio-Paris, la juge Zimmermann qui fait dix fois pire que dans l’affaire Dreyfus.
Cette même justice continue à pourchasser pour l’enfermer l’honnête homme qui dit la vérité et aide les familles de victimes. Elle veut discréditer et faire taire cet honnête homme parce que celui-ci dénonce les responsables et coupables, délinquants et criminels. Dans les enquêtes sur les crashs aériens, la justice fonctionne à l’envers. Et elle n’y va pas avec le dos de la cuiller ! C’est digne des pires pays totalitaires. Et tout l’exécutif est informé de tout. Notamment Taubira.
Tous les documents utiles, relatifs à ce qui vient d’être exposé, sont disponibles sur le Web à partir d’une page d’Etat des lieux.