La CEDH et la démocratie en Europe

Mis à jour le 25 mars 2024 (en bas de page). En exergue, une réalité qui résume tout : les fausses licences de pilote de ligne (tout le monde comprend en cinq minutes).

La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) est saisie depuis septembre 1996. Elle a toujours disposé de tous les documents utiles pour juger, c’est-à-dire l’essentiel de ce qui figure dans l’exposé de 1988 jusqu’en 2004, puis ensuite.

Mais il est vrai que la CEDH n’avait pas hésité à établir des faux pour me faire jeter en prison. Ces faits sont rappelés dans un PDF qui date d’avril 2018 (8 pages – 389 Ko).

Par principe et pour être irréprochable j’avais formulé en décembre 2010 une nouvelle requête.

Il apparaît que la CEDH fait semblant de ne rien comprendre (elle a longtemps été présidée par Jean-Paul Costa, ancien directeur de cabinet d’un ministre socialiste de Mitterrand, un pur et dur). En décembre 2010 et en 2011 elle m’a réclamé à plusieurs reprises un dossier papier alors qu’à chaque fois je lui répondais que j’étais dans l’impossibilité de récupérer mes dossiers papier… justement en raison des violations de la Convention dont je suis victime (ce qui était déjà clairement exprimé dans la requête) ! Je lui avais précisé que tout est sur le Web et j’ai mis les liens vers ce qui résume cette situation (ibid.). Et, à chaque fois, la CEDH me répondait… etc.

ET MAINTENANT (OCTOBRE 2018 – MARS 2024) ?

Après le crash d’un Boeing 737 MAX en Indonésie le 29 octobre 2018 j’ai rappelé certaines mises en garde dans un PDF du 8 novembre 2018 (10 pages – 871 Ko) et sur une page Web du même jour.

J’ai insisté. Par exemple le 7 janvier 2019.

Les faits ne cessant de me donner raison il a bien fallu que quelqu’un passe aux aveux : le bel aveu de Jean Pinet (ex-Airbus).

Pour autant, rien n’a changé. J’ai continué à tirer la sonnette d’alarme. « Doit-on attendre un nouveau crash aérien inutile, un de plus, qui ne se serait pas produit si on m’avait écouté ? ». Ainsi commence une page Web du 9 mars 2019, veille du crash d’un Boeing 737 MAX en Ethiopie, qui a entraîné la suspension de vol des 737 MAX.

25 mars 2024. La communauté aéronautique mondiale a achevé de me donner raison sur toute la ligne, mais rien ne change en France, en Europe. Les informations utiles sur ce point figurent sur une page Web du 2 août 2019, dans un PDF du 3 septembre 2019 (14 pages – 797 Ko), dans un PDF du 4 octobre 2019 (7 pages – 496 Ko) et sur une page du 25 mars 2024. Où va-t-on ?

Doit-on attendre un nouveau crash aérien qui aurait pu, qui aurait dû, être évité ?