COURRIEL DU 2 NOVEMBRE 2012 A LA DIRECTION DES AFFAIRES CRIMINELLES ET DES GRACES
De : norbert jacquet
À : “eric.mathais@justice.gouv.fr” ; “rachel.bray@justice.gouv.fr”
Envoyé le : Vendredi 2 novembre 2012 9h38
Objet : Catastrophe de l’Airbus AF447 Rio-Paris
Courriel à la Direction des affaires criminelles et des grâces
Monsieur Eric Mathais, chef de service, adjoint à la directrice
Madame Rachel Bray, chef du cabinet de la directrice
Bonjour,
Je crois devoir en premier lieu rappeler que les faux et les mensonges sont courants dans l’aérien français :
LES FAUSSES LICENCES DE PILOTE DE LIGNE : http://jacno.com/an08.htm
Le chef de l’Etat s’est rendu hier à Toulouse pour rendre hommage aux quatre victimes du collège Ozar Hatorah et participer à la cérémonie organisée à cet effet. Il a promis « toute la lumière » sur l’affaire Merah. La justice enquête sur d’éventuels manquements de la police dans la surveillance de Merah.
Dans l’affaire Zyed et Bouna, on a pu lire avant-hier : « Une très grande décision pour la justice française. » Une fois de plus, la justice cherche d’éventuelles responsabilités au sein de la police. Il ne s’agit pas de déclarer innocents les policiers sans en savoir plus, mais ce qui pourrait leur être reproché est quand même très insignifiant au regard des lourdes et évidentes responsabilités et culpabilités dans la disparition de l’Airbus Rio-Paris, qui a entraîné la mort de deux-cent-vingt-huit personnes et constitue la catastrophe la plus meurtrière ayant frappé la France depuis des décennies.
Que fait la justice française pour le Rio-Paris ? Des magistrats mettent tout en oeuvre pour cacher la vérité, pour protéger les responsables et coupables, pour détruire les familles de victimes en traitant en outre ouvertement celles-ci comme des imbéciles et du bétail, pour enfermer celui qui les aide en organisant de surcroît à l’encontre de celui-ci une abjecte campagne publique de discrédit et pour fermer son site Web.
La justice française traîne dans la boue les pilotes décédés, notamment Pierre-Cédric Bonin, dont les enfants, qui ont aussi perdu leur mère dans l’accident, subissent quotidiennement les railleries de leurs camarades.
Considération distinguée,
Norbert Jacquet (Google)