Airbus : la France en plein délire

 
 
 
 

On va faire simple parce que dans les hautes sphères judiciaires et droit-de-l’hommistes ça ne va pas fort du ciboulot, dirait-on. Avec un exemple pratique. Reims Aerospace, sous-traitant d’Airbus, va mal.
 
Le nécessaire est en cours pour informer les dirigeants de cette société, ainsi que ses syndicats et le plus de monde possible (collectivités territoriales et autres organismes locaux d’intérêt collectif, y compris les médias), du fait que les concurrents actuels et futurs d’Airbus (Boeing, Bombardier, Comac, Embraer…) ont les moyens d’étouffer Airbus avec ce qu’on trouve sur le Net, parce que les industries aéronautiques sont des intérêts d’Etat et qu’un industriel associé aux pouvoirs publics de son pays a les moyens de faire du tam-tam planétaire sur le thème Airbus, banana republic aircraft (ou Soviet aircraft, comme on voudra). L’aveu sur le Net.
 
Airbus est donc obligé de céder du terrain, de céder des parts de marché aux concurrents. Et ce sera de pire en pire. Tout cela parce que tout un pays continue à s’acharner maladivement contre moi, avec des moyens crapuleux et criminels, alors que TOUT me donne raison.
 
Et le FN monte, monte, monte…