En exergue, une réalité qui résume tout : les fausses licences (un gamin de dix ans comprend en cinq minutes).
La CEDH est saisie depuis longtemps comme le montre un dossier qui date un peu (avec le détail jusqu’en 2004, puis ensuite).
Par principe et pour être irréprochable j’ai formulé en décembre 2010 une nouvelle requête.
Il apparaît que la CEDH fait maintenant semblant de ne rien comprendre (son président, Jean-Paul Costa, est un ancien directeur de cabinet d’un ministre socialiste de Mitterrand, un pur et dur). Au cours de ces derniers mois, elle m’a réclamé à plusieurs reprises un dossier papier alors qu’à chaque fois je lui réponds que je suis dans l’impossibilté de récupérer mes dossiers papier… justement en raison des violations de la Convention dont je suis victime (ce qui était déjà clairement exprimé dans la requête) ! Je lui précise que tout est sur le Web et je mets les liens vers ce qui résume cette situation (ibid.). Et, à chaque fois, la CEDH me répond… etc.
J’ai donc gentiment envoyé promener la CEDH et son président Jean-Paul Costa, par recommandé avec AR (12 septembre 2011), en leur indiquant que je demandais à ceux qui pourraient être intéressés (je ne dirai pas qui) de faire respecter en Europe la liberté et les droits de l’homme, avec les moyens qu’ils jugeront utiles. Et je donnerai raison à ceux qui agiront, quoi qu’ils fassent.