L'Airbus Rio-Paris AF447 « pour les nuls »

12 juillet 2012. Le rapport N°3 du BEA (29 juillet 2011) donne des informations intéressantes, bien qu’incomplètes. Quatre pages intéressantes ont été extraites et regroupées en un PDF. Les pages 93, 109, 111 et 114.

On constate qu’avant tout autre événement plusieurs faits surviennent, qui sont la genèse de l’accident. Pages 109 et 111 on voit que le régime des moteurs commence à varier fortement plusieurs secondes avant le déclenchement des automatismes. Page 93 on voit que l’altitude commence à diminuer brutalement quelques secondes avant le déclenchement des automatismes. Pages 109 et 114 on voit que l’assiette commence à diminuer fortement plusieurs secondes avant le déclenchement des automatismes. Bref, des familles de victimes ont déjà constaté que la genèse des évènements est claire : les ordinateurs ont envoyé l’AF447 à piquer plusieurs secondes avant la déconnexion des automatismes.

Le pilote a donc tiré sur le manche pour corriger cette mise en piqué intempestive et anormale, dont la seule cause est la perturbation des systèmes de commandes de vol et de commande des moteurs par des fausses indications en provenance des sondes extérieures. Jusqu’à ce jour, le BEA et les juges Zimmermann et Daurelle ont tout mis en oeuvre pour cacher ces réalités et faire croire que le pilote a tiré sur le manche parce que ce serait un idiot qui ne comprendrait rien à rien. Sans parler du reste. Les précités ont tout mis en oeuvre pour cacher la vérité et accuser les pilotes décédés d’être responsables du drame. Et ceci intervient après qu’on a cherché pendant deux ans l’épave partout, sauf à l’endroit où on savait qu’elle se trouvait

On trouvera plus de détails à partir de deux publications récentes : un PDF du 4 juillet et une page HTML du 7 juillet.

(NB : la collection “pour les nuls” est une collection de vulgarisation très connue en France et hors de France et il n’est aucunement question de mettre en cause par ces termes les familles de victimes, mais ceux qui font semblant de ne pas comprendre chez certains avocats, magistrats et autres intervenants, dont certains jouent double jeu)