Que vont faire Airbus et la France ?

1er mai 2015. L’Irkut MC-21 (150 à 230 passagers selon les versions et l’aménagement intérieur) sera équipé de mini-manches actifs latéraux qui « améliorent le niveau de sécurité de façon importante, rendant plus perceptibles les actions d’un pilote à l’autre et accélérant les actions de récupération »… « Conjugués et dotés d’un retour de force en pilotage automatique, ils permettent une meilleure prise de conscience de la situation de l’appareil. Chaque pilote peut en effet voir et sentir le comportement de l’appareil grâce à son mini-manche » (le Journal de l’Aviation). La société Sagem développe elle aussi de tels mini-manches, en livrant beaucoup de précisions (Air et Cosmos).

Dans ce qui précède, il ne s’agit que des manches, interface entre l’équipage et les logiciels. S’agissant des logiciels et de leur philosophie, on trouve aussi des différences importantes chez les avionneurs, notamment pour ce qui concerne les priorités données en dernier recours à l’homme ou à la machine.

J’invite donc vivement, très vivement, à lire / relire un PDF de trois pages du 6 mars 2015 en notant que ce PDF est antérieur au crash du Germanwings dans les Alpes françaises, qui a amené l’ensemble du transport aérien mondial à interdire qu’un pilote reste seul dans le cockpit.

Quel est l’avis d’Airbus sur l’ensemble de ces faits ? Celui du gouvernement ? A l’Elysée, qu’en pense-t-on ?

Et la justice ? Il se confirme au-delà de l’imaginable que « tout me donne raison sur tout » dans l’histoire mondiale de l’aéronautique civile et militaire de ces trente dernières années, mais des magistrats persistent à falsifier les faits, à escroquer les familles de victimes, à détruire celles-ci à petit feu et à me pourchasser pour m’enfermer, multipliant les procédures abusives et ineptes à mon encontre pendant que les morts inutiles, stupides, continuent à s’accumuler par centaines. Et Hollande ?