10 mars 2013. J’ai remis la main sur quelques archives, par exemple une lettre de l’avocat Bellecave (et Richard Martin-Chico) de novembre 1995. Bellecave m’y indique qu’il a lu attentivement mon livre paru un an auparavant, que mes explications sur les accidents qui en font l’objet lui semblent claires, etc. Il avait aussi connaissance de pas mal d’autres faits et documents, notamment ceux concernant Mermaz et d’autres. J’avais auparavant rencontré Bellecave à trois reprises : une fois à Paris, une fois à Bordeaux où je me suis rendu à la demande de Martin-Chico et Bellecave et à leurs frais et une fois à Toulouse dans les mêmes circonstances (toutes les preuves sont dans mes archives, doublées et parfois triplées, en lieux sûrs).
Il est assez hallucinant de voir que Bellecave ne trouve finalement rien à redire à toutes les magouilles que je dénonçais, notamment s’agissant de quelques magistrats. Il estime même qu’il faut faire confiance à ces magistrats, en premier lieu le juge Guichard. On a vu le résultat ! Quant aux méthodes utilisées contre moi et à leurs raisons, il ne trouve pas plus à redire. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Et si ce n’est pas vrai, il ne faut quand même pas le dire trop fort. Chhtt ! Il faut même détruire la vie de celui qui parle un peu trop haut. Le bilan est que les victimes et familles de victimes paient des honoraires astronomiques aux avocats, qui leur mentent et les escroquent et qui aident les voyous faussaires de l’aviation à les détruire purement et simplement dans une procédure sans fin (Sainte-Odile). Et ça continue avec le Rio-Paris !
S’agissant des « termes utilisés à l’égard du juge Guichard » (4ème paragraphe de la dernière page de la lettre) il faut bien voir que le mensonge d’Etat organisé par ce juge, avec falsifications des enregistreurs de vol du crash de Habsheim, durait à ce moment depuis plus de sept ans avec, déjà, l’accident du Mont Sainte-Odile qui aurait pu être évité et qu’il était donc quand même temps de dénoncer les comportements criminels de ce juge, ce que j’avais fait, preuves en main. A ce sujet, justement, et tout cela était connu de Martin-Chico et Bellecave quand ils ont rédigé leur lettre (cliquez sur l’image) :