Airbus AF447 Rio-Paris, ministère de la Justice : on attend

COURRIEL DU 29 OCTOBRE 2012 A LA DIRECTION DES AFFAIRES CRIMINELLES ET DES GRACES

De : norbert jacquet
À : “eric.mathais@justice.gouv.fr” ; “rachel.bray@justice.gouv.fr”
Envoyé le : Lundi 29 octobre 2012 10h45
Objet : Catastrophe de l’Airbus AF447 Rio-Paris

Courriel à la Direction des affaires criminelles et des grâces
Monsieur Eric Mathais, chef de service, adjoint à la directrice
Madame Rachel Bray, chef du cabinet de la directrice

Bonjour,

Deux images, cliquables pour explications, résument tout s’agissant des moyens d’enquête sur le drame du Rio-Paris :

Extrait de la doc de la CEFA
Extrait de la doc de la CEFA

Extrait de la  doc de la CEFA + Explications
Extrait de la doc de la CEFA

 

 

 

 

 

Image de gauche : la page d’accueil de la CEFA montre, en plein milieu, un FDR (enregistreur de paramètres). Quiconque dispose d’un peu de bon sens a déjà compris.

SWISS et LUFTHANSA donnent leur avis.

Image de droite : sur l’usage et les résultats, des précisions sont sur le Web, avec des liens à suivre.

Airbus, le BEA, l’administration, les experts judiciaires, la juge Zimmermann… tout le monde sait ce qu’il s’est passé, sauf les familles de victimes à qui on cache grossièrement la vérité et dont on se paie la tête en les prenant pour des imbéciles, du bétail qu’on mène à coups de pique, en persistant à leur cacher l’existence même de ce moyen de tout restituer, tout de suite, et de comprendre l’enchaînement des évènements. Il faut bien voir que les menteurs précités agissent comme si un tel outil n’existait pas, alors qu’il est utilisé par des dizaines de compagnies aériennes dans le monde, comme le montre le bandeau défilant en bas de la page d’accueil de la CEFA. Sans parler de toutes les autres qui utilisent un outil identique, mais d’autres fabricants (on en trouve plusieurs dans le monde, notamment un autre français, la SAGEM, dont on peut apprécier le logiciel ici et ).

Dans le même temps, parce que j’expose ces faits simplissimes, des magistrats mettent tout en oeuvre pour tenter de m’enfermer, sans aucune raison valable, ni en fait, ni en droit, en lançant une campagne publique de discrédit. C’est digne des pires pays bananiers et totalitaires.

Considération distinguée,

Norbert Jacquet (Google)