24 août 2012 (update 4 décembre 2012). Alain Le Carrour entre en scène dans l’enquête sur le drame du Rio-Paris. Son travail très long et fastidieux à suivre est présenté par Henri Marnet-Cornus.
En résumé : des tonnes de brassage d’air pour masquer l’essentiel, compréhensible par un gamin de dix ans.
Bien sûr, Le Carrour et HMC concluent à la nécessité d’une contre-expertise… en continuant à cacher les paramètres FDR qui montrent les défauts de l’avion et en passant sous silence l’existence même d’un logiciel simplissime, l’emulateur de cockpit. C’est, au millimètre près, le scénario du Ste-Odile qui se répète (Le Carrour y était aussi !). On sait où cela conduit.
Avec Alain Le Carrour on retrouve l’éternelle poignée de pilotes syndicalistes magouilleurs, ces pilotes qui se moquent complètement de la sécurité aérienne, des morts qui s’accumulent, de la douleur et des intérêts des familles de victimes et qui, dans leur double jeu, ne recherchent qu’un médiocre petit profit personnel en trahissant la cause qu’ils prétendent défendre et ceux qu’ils prétendent défendre.
Des familles de victimes de l’AF447 enragent de plus en plus de voir à quel point la France les prend pour des imbéciles dans le cadre d’une escroquerie d’Etat organisée par les hautes sphères du pays.
Update 4 décembre 2012. Alain Le Carrour tient un des premiers rôles dans le documentaire diffusé par Canal+, qui aurait pu s’intituler « Nous sommes tous des assassins ».