Airbus AF447 Rio-Paris et autres crashs : la suite inéluctable

28 mai 2013. Des familles de victimes du Rio-Paris ont la faculté de faire procéder à tout moment (dans le délai de prescription) à des citations directes devant le tribunal pour faux de MM.Troadec, Bouillard et Arslanian (rapport du BEA du 5 juillet 2012). Dans une telle procédure elles peuvent simultanément faire citer des témoins, entre autres divers protagonistes de l’aérien et du judiciaire (ce n’est pas ce qui manque en vingt-cinq ans de grossiers mensonges). Je peux donc être cité comme témoin. Peuvent aussi être cités Mme Taubira et MM. Cuvillier, Montebourg, Valls, Ayrault, Hollande qui sont au courant de beaucoup de choses. Et qui étaient au courant avant même le dépôt du rapport du BEA. Il suffit de dix secondes avec un moteur de recherche pour trouver les pages qui vont bien, avec les liens à suivre et toutes les preuves de cette réalité. Pour les témoins dans une telle procédure par citation directe, on peut ajouter quelques autres personnalités.

On trouve sur le Web, adaptés à l’affaire, des explications sur la citation directe.

Les familles ont aussi la faculté de faire procéder à tout moment (aucun délai actuellement, le délit est permanent) à des citations directes de X et/ou Y et/ou…(à déterminer) pour subornation de témoin (le témoin, c’est moi). En fait une citation à une seule personne est suffisante. Ce qui compte, c’est « autour ». En effet, les familles peuvent simultanément faire citer comme témoin des gens qui savent beaucoup de choses (voir premier paragraphe).

Il est prévu, surabondamment, que des familles me fassent citer à l’audience du procès à venir sur le Rio-Paris. C’est enfantin. Un avocat est inutile ! Il n’y a donc aucun risque de blocage, ni de torpillage par les avocats. Surtout, cela coûte quelques dizaines d’euros (à comparer aux honoraires des avocats qui s’en mettent plein les poches en escroquant leurs clients qu’ils détruisent à petit feu en leur imposant de force, comme on mène du bétail à l’abattoir, des procédures interminables qui débouchent sur le néant). On trouve sur le Web, adaptés à l’affaire, des explications sur la manière de procéder.

MAISMAIS… il y en a peut-être qui pourraient être tentées de se passer de la justice française et de s’organiser pour « faire péter la vérité à la face du monde » (sans actions violentes bien sûr). Mais, de tout cela, je ne sais strictement rien. Chacun est libre d’agir comme il l’entend. Faut-il ajouter qu’il n’y a pas que des familles de victimes qui pourraient trouver un intérêt à provoquer un tel scandale ? Inutile de faire un dessin.