31 juillet 2012. Des familles de victimes de l’Airbus AF447 Rio-Paris, non françaises, ont écrit à la juge Sylvia Zimmermann pour qu’elle m’entende comme témoin et comme sachant [1]. Le moins qu’on puisse dire est que la juge Zimmermann a mis le paquet pour me faire rechercher. Mais était-ce pour m’entendre ou bien…
Sylvia Zimmermann entretien d’excellentes relations avec Nathalie Savi, magistrat, vice-procureure à Paris. Les deux se tutoient, y compris dans les échanges de courriels officiels, en tout cas dans le cadre de la procédure pour organiser la chasse à l’homme en France et hors de France, pendant plus d’un an, pour me faire arrêter dans le but de… m’enfermer en psychiatrie (« 7 ans à passer en hôpital psychiatrique » pour « ce fou » comme le précise Sylvia Zimmermann dans un courriel). Cette intention n’est pas une plaisanterie quand on sait que la juge Zimmermann met tout en oeuvre pour cacher la vérité et quand on sait ce que je vis depuis vingt-quatre ans et les enfermements totalitaires que j’ai subis parce qu’on veut me discréditer et me détruire pour me faire taire. Cette chasse à l’homme pour m’enfermer a été organisée parce que je dis la vérité sur les causes du drame du Rio-Paris, qui illustre une fois de plus les défauts des Airbus (auxquels il faudra bien remédier, parce que le mur est devant).
On trouvera quelques précisions et surtout des documents sur les recherches lancées par Sylvia Zimmermann à partir des pages ci-dessous, qui renvoient vers des pièces de procédure croustillantes (on trouve ces pièces surtout à partir du troisième lien) :
– Airbus Rio-Paris AF447 : le coupable arrêté ! (17 juillet 2012),
– Sylvia Zimmermann, Philippe Courroye et autres fadettes (21 juillet 2012),
– La juge Sylvia Zimmermann a-t-elle toute sa tête ? (22 juillet 2012),
– Juge Sylvia Zimmermann : une authentique c… ?!?!?! (24 juillet 2012).
On trouvera plus complet, avec l’environnement plus large, à partir d’un récapitulatif complet concernant Sylvia Zimmermann.
[1] Update 9 mai 2013. Une lettre RAR du 5 septembre 2011, adressée par une partie civile à la juge Zimmermann, rappelait cette demande (troisième point de la lettre). D’autres demandes avaient été formulées auprès de la juge. Quelques documents à ce sujet ont été regroupés sur une page mise en en ligne le 8 mai 2013, qui fournit beaucoup d’informations intéressantes sur le fait que la juge Zimmermann ne poursuit qu’un seul objectif : escroquer les familles de victimes et les détruire à petit feu en les conduisant de force dans une impasse de type Sainte-Odile, c’est-à-dire quinze à vingt ans d’une procédure blablateuse avec des débats hors sujet pour cacher l’essentiel et blanchir tout le monde au bout du compte.